Pendant cette période de confinement, les photographes amateurs doivent relever plusieurs défis. Le premier d’entre eux, par forcément en ordre d’importance, est relatif à leur passe-temps favori : faire ou ne pas faire de photos. Un autre défi est de rester en contact avec sa famille, ses amis et connaissances, même s’ils sont éloignés.
Alors que faire ?
Inventer des défis photographiques
C’est une idée propagée par de nombreux sites et blogs en ces temps de confinement. Ajoutons-y la nôtre !
L’idée est de se mettre d’accord, à plusieurs, par exemple à l’occasion d’un « apérovidéo », sur un sujet, quel qu’il soit, mais réalisable chez soi, en intérieur de préférence. Ceci pour éviter les distorsions liées à la propriété ou non d’un jardin ou d’un espace extérieur suffisant.
Quelques principes :
- Accepter tout type d’appareil photo, même un « mobile multifonction » (terme officiellement recommandé par la commission d’enrichissement de la langue française pour remplacer « smartphone » (sans commentaire …), mais un appareil numérique, pour des raisons évidentes !
- Réaliser une ou plusieurs photos sur le thème retenu.
- Soumettre une seule de ces images au « jugement » des autres participants, à l’occasion d’un autre « apérovidéo ».
Des contraintes
- Ne pas donner à l’avance une liste des défis, de manière à ne pas fausser la spontanéité des réalisations.
- Imposer un délai de réalisation.
- Accepter la participation des enfants (quand les familles en comportent, évidemment !) : cela signifie que les sujets de défi doivent leur être accessibles et ne pas relever de ce qui est à réserver aux adultes.
- Renouveler régulièrement les sujets de défi : on ne revient pas sur un défi déjà réalisé.

Soumettre ses « œuvres » à l’appréciation des autres participants
Cela suppose, confinement oblige, d’organiser d’autres « apérovidéos » avec les mêmes personnes, en tous cas avec toutes celles qui acceptent de participer au défi.
Différentes possibilités existent pour « soumettre ses œuvres » de la plus basique à la plus élaborée informatiquement parlant. Mais la plus efficace serait que chacun dépose ses images sur un espace accessible à tous, ou que l’un des participants accepte d’héberger temporairement lesdites images. Celui-ci peut aussi être « neutre », c’est-à-dire héberger les images sans participer, une sorte d’arbitre. Chacun commentera alors les réalisations des autres participants. Dans la bonne humeur s’entend !
Quelques avantages de ces défis
- On ne reste pas sans faire de photos,
- On continue à garder le contact avec sa famille, ses amis, ses connaissances,
- L’humour, très vivement recommandé, est bon pour le moral,
- Le confinement devient plus supportable.
Une importante précision
Il va sans dire (mais cela va mieux en le disant) qu’il n’est pas question pour PentaxKlub d’encourager des « apérovidéos » où l’alcool coulerait à flots ! Surtout pas en présence d’enfants ou d’adolescents. Faire la fête n’est pas synonyme d’alcoolisation.